Des restrictions sanitaires sont levées aujourd’hui, d’autres sont déjà prévues !
Vous vous y perdez un peu entre toutes les évolutions de règles sanitaires ? voici le récap de ce qui est de nouveau autorisé et des allègements prévus à la fin du mois.
A la faveur de la décrue de la 5eme vague épidémique, le gouvernement a acté la levée de nouvelles restrictions. Les règles changent en partie ce matin et d'autres changements sont d'ores et déjà annoncés pour la fin du mois...
Des midficiations qui peuvent nous faire perdre le nord ! Si vous vous perdez un peu entre toutes les évolutions de règles sanitaires, voici le récap de ce qui est de nouveau autorisé et de cqui le sera bientôt :
Pour faire simple :
A partir d'aujourd'hui, vous pouvez de nouveau :
- consommer debout dans les bars, cafés et restaurants
- boire ou manger dans les stades, les cinémas et les transports en commun
- aller en discothèque
- vous rendre à un concert debout
A partir du 28 février :
- Evolution du protocole des cas contacts. Comme à l'école, une personne cas contact ne devra plus réaliser qu'un seul test à J2 au lieu de trois tests actuellement.
- Fin du port du masque en intérieur dans les lieux soumis au pass vaccinal ( cinéma,théâtre, musée, restaurant, bar etc…)
Le port du masque en intérieur sera toujours obligatoire dans les transports en commun et les lieux clos non soumis au pass vaccinal (hôpitaux, administrations, services publics, magasins, bureaux...).
Concernant les écoles :
Au retour des vacances d'hiver, le protocole sanitaire sera allégé.
- Le masque ne sera plus obligatoire dans la cour de récréation, mais le restera en intérieur.
- Un seul autotest sera demandé au lieu de trois, si l'enfant a été en contact avec un autre élève (ou un adulte) testé positif dans sa classe.
Pour l’académie de Strasbourg ces changements entreront en vigueur des ce lundi 21 février.
Cerise sur le gâteau : Le ministre de la santé Olivier Véran a évoqué ce matin une possible levée de l'obligation du masque en entreprise ou à l'école d'ici un mois, à condition que la situation continue de s'améliorer et que les hôpitaux retrouvent un "état de fonctionnement normal".